reconnus". Sac Longchamp brodé

000 morts, déraciné quelque neuf millions de personnes et laissé le pays en ruines. "La solution politique à la crise commence aujourd'hui", a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem, après avoir voté à Damas, parlant de scrutin "démocratique"."Imposture"Dans le camp adverse et au moment où les combats et bombardements continuent de faire rage à travers le pays, les insurgés dénoncent une "élection de sang" et les Etats-Unis une "imposture", alors que l'Otan a assuré que les résultats ne seront "pas reconnus". Sac Longchamp brodé
Réactions"Parallèlement aux élections de sang, les forces d'Assad bombardent violemment Daraya avec des barils d'explosifs", a indiqué Mohannad, un militant de cette localité proche de Damas. "Les dictateurs ne sont pas élus, ils gardent le pouvoir par la force et la peur, ce sont les deux raisons qui poussent les Syriens à participer à cette mascarade", a affirmé le chef de l'opposition en exil, Ahmad al-Jarba.Vote sous la contrainte?L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a rapporté que le régime "for?ait" les citoyens à voter sous peine d'arrestation. Sac à dos Longchamp "Assad tente de se redonner une légitimité et d'atténuer son image de criminel de guerre. Les Syriens ne le ha?ront que davantage", ont affirmé les comités de coordination locales, réseau de militants.Armée dévouéeFace à des rebelles en manque d'armes, M. Longchamp Portefeuille
Assad est à la tête d'une armée restée soudée autour du régime malgré les défections, et bénéficie des soutiens russe et iranien et de l'aide précieuse des combattants aguerris du Hezbollah libanais et de supplétifs syriens et étrangers.Election présidentielle "historique"En théorie, il s'agit de la première élection en Syrie depuis un demi-siècle, Bachar al-Assad et avant lui son père Hafez ayant été désignés par référendum, mais elle est organisée en vertu d'une loi excluant de facto toute candidature dissidente."Mise en scène"Pour Noah Bonsey, de l'International Crisis Group (ICG), la présidentielle "ne changera pas la donne" si ce n'est de faire perdurer le conflit.